Roqya
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Réalisateur : |
Saïd BELKTIBIA | ||
Acteurs : |
Golshifteh Farahani, Amine Zariouhi, Jeremy Ferrari, ... | |||
Genre : |
Action, Thriller | |||
Durée : |
1 h 37 | |||
Date de sortie : |
15/05/2024 | |||
Titre original : |
Roqya | |||
Note "critique" : |
1,50 | |||
Classement 2024 |
43 / 96 |
Résumé : |
.O xx |
.O. Nour vit de contrebande d'animaux exotiques pour des guérisseurs. Lorsqu’une consultation dérape, elle est accusée de sorcellerie. Pourchassée par les habitants du quartier et séparée de son fils, elle se lance alors dans une course effrénée pour le sauver. La traque commence… .O. |
Xavier |
.O. Jeremy Ferrari dit avoir attendu longtemps un rôle au cinéma ne l'emmenant pas dans le registre comique et je peux le comprendre mais son interprétation, ici n'est pas mémorable. Il faut dire que son rôle, et plus généralement les relations dans ce couple, ne sont pas des plus tranchantes ce qui va bien avec un film dans lequel la brutalité est souvent mise en avant. C'est dommage car les trafics de "nouveaux Animaux de Compagnie", l'exploitation des peurs des uns et des autres avec des croyances plus ou moins frelatées, la mise en scène sur les réseaux sociaux pour se faire de la publicité ou retrouver quelqu'un, les centres de rééducation religieux, ... les thématiques abordées sont nombreuses mais elles semblent dépasser les scénaristes qui n'ont pas voulu trancher et ce sont perdus en route. "Roqya" a toutes les caractéristiques d'un premier film, de luxe (vu son casting) et plutôt bien doté (on trouve une estimation à 3,4 millions d'euros quand le budget moyen d'un film français est de 4 millions d'euros en 2023), mais avec ses lacunes que ce soit dans le scénario ou dans la façon de monter cette histoire. Je lui reconnais tout de même sa facilité à faire monter la tension dans sa première partie et ne peux que regretter que le réalisateur n'ait pas réussi à mieux équilibrer tout cela. Peut-être pour le prochain ? Sûrement ! |
Première : ¤ |
.O. Le cinéaste opte pour le film de traque et le récit à suspense. Mais à force de vouloir mêler une grande quantité de sujets (le business de l’ésotérisme, les dérives terrifiantes des réseaux sociaux, la détresse sociale contemporaine, le combat d’une mère pour son enfant), le film perd sa tension narrative en chemin et s’éparpille. .O. |
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